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Par MSW67 le 17 Mars 2007 à 10:38
Cest une maison blanche comme la lumière et tes cheveux
Une télé fait du bruit de son mieux
Tu mregardes longtemps et tu maimes sans savoir pourquoi
Jvoudrais te parler si cest toujours toi
Drôle de maladie qui fait naufrager la mémoire
Même mon prénom et tes belles histoires
Drôles dimages de vie qui se détachent de tes souvenirs
Toi tu voudrais simplement partir oui partir
Va où tu veux
Où la vie te regarde
Va où lamour
Te réserve un retour
Va où le vent
Te dira mieux que moi
Va où le monde
Tournera avec toi
Je tai mis un costume et jai sorti un clos Vougeot
Lui, il a bien vielli, le salaud !
Tu ris de ta blague avec tou regard neuf denfant
Tu touches tes médailles du temps davant
Ta as perdu la tête et je tai perdu dans la fête
Une valse dombre qui se répète
Tu as couru très loin pour pouvoir semer ton chagrain
Et tu hésites avant de tendre la main, vers plus loin
Va où tu veux
Où la vie te regarde
Va où lamour
Te réserve un retour
Va où le vent
Te dira mieux que moi
Va où le monde
Tournera avec toi
Je tai retrouvé hier sur une photographie
Je msouviens de cque tu mas pas dit
Je tai retrouvé, je me suis retrouvé aussi
Et dans ma poche un papier jauni mal écrit
Va où tu veux
Où la vie te regarde
Va où lamour
Te réserve un retour
Va où le vent
Te dira mieux que moi
Va où le monde
Tournera avec toi
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Par MSW67 le 17 Mars 2007 à 10:23
Si un soir, ma main glissait sur une page tardive
Et si mes yeux tombaient sur une missive
Est-ce que je te connaîtrais d'avantage ?
Qu'est-ce qu'un fils peut savoir de tes voyages
Des tes amours secrètes, de tes folies,
Tes erreurs de jeunesse, tes envies,
Ta folle sagesse et tes rêves infidèles ?
Qu'est-ce qu'une maman peut dire pour rester belle ?
Raconte, Raconte un peu cette vie
Que ta pudeur oublie
On vit tous plusieurs vies
Alors...
Raconte-moi
Ta solitude et ton coeur pour seules armes
Les paravents pour mon enfance sans larmes
L'auto-stop, les figues de Barbarie,
Argenteuil, Barbara, l'Italie
Ce type qui nous faisait visiter Rome
Que tu as laissé passer comme tous ces hommes
Qui voulaient te parler d'éternité
Mais ne souhaitaient pas assez me rencontrer
Raconte... Raconte les courses folles
Les films rue des Ecoles
Vincent, François et Paul...
Raconte-moi aussi les choses de ta vie
Ce peintre qui me sourit
Une famille qui grandit
Et puis raconte encore
Raconte une autre histoire
Cette vie avant d'm'avoir
Mon père, Colomb-Béchar
Alors raconte plus fort
Raconte un peu cette vie
Que ta pudeur oublie
On vit tous plusieurs vies
Raconte-moi
Tu m'as p't-être pas tout dit
Raconte-moi...
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Par MSW67 le 17 Mars 2007 à 10:14
Tu poses tes yeux, sur moi
Et je deviens Papa
Tu sais j'ai tellement voyagé
Que j'ai cru mon coeur usé
Je t'ai cherché longtemps
Là où jouent les enfants
Y'avait du sable dans les bacs
Et j'avais le coeur en vrac
Ma maison de papier
C'est enfin envolée
Alors j'ai vu mes ailes
S'ouvrir pour te trouver
Ce que je n'savais pas
C'est que je n'savais rien
Avant que tu ne viennent là
Eclairer mon chemin
Enfin me viennent des larmes
Que je n'veux pas sécher
Tu vois ce soir, je n'ai plus de larmes
Tu m'as déshabillé
Ma maison de papier
Est enfin habitée
Alors j'ai vu le ciel
S'ouvrir pour l'éclairer
Tu me souris, ce soir
Comme la première fois
Alors tu sautes dans mes bras
Vas-y je compte jusqu'à toi
Mes avions de papier
Ce sont enfin posés
Alors j'ai vu tes ailes
S'ouvrir pour voyager
Je dessinerai le temps
Pour qu'il m'attende encore
Et je mettrai des rubans
Aux nuages qui rêvent dehors
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