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C'était un matin de Décembre,
ta voix au fond d'un teléphone:
"les dauphins tournent autour de moi,
c'est drôle il ne m'approche pas,
Qu'est ce que tu crois?"
Ce que je crois je n'ose le dire
Mes yeux humide retiennent un rire.
Mon coeur se noie en 1 instant,
je regarde l'appartemment, en souriant.
C'été vrai, enfin vrai,
partir pour le plus grand de nos voyage,
et s offrir notre plus beau visage.
Ce jour ou la vie parlé mieux que tout.
C'été vrai tellement vrai, ce matin ou l'on parté pour ailleurs,
le monde venait de changer de couleur,
quant déja des sourires flotté partout.
J'attend devant l'aéroport,
je te vois dans la foule qui sort.
Tes yeux qui cherche sont plus les meme.
Si tu savais combien je t'aime, combien je t'aime.
Tu as serré ma main sur ton ventre, sous la lune déja impatiente.
On c'est regardé un long moment, comme si on savé depuis longtemps, tellement longtemps
C'été vrai,enfin vrai,
partir pour le plus grand de nos voyage,
et s'offrir notre plus beau visage.
Ce jour ou la vie,parlé mieux que tout.
C'été vrai, tellement vrai
alors tu es sorti de l'eau toute pâle,
avec dans les yeux la force d'une étoile,
ce jour ou la vie parlé mieux que tout
C'été vrai,
Le monde allait changer de couleur,
déja des sourires flotté partout..
C'était vrai,
Et s'offrir notre plus beau visage, ce jour ou la vie parlera mieux que tout.
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Moi qui ai toujours noirci des pages pour des chansons de pluie
Fait, défait, cent fois mes bagages pour trouver un abri
Ce soir mon stylo fait la gueule, y'a rien à en tirer
Il préférait quand j'étais seul, plus facile de chialer
Le bonheur c'est plutôt chouette, mais comment ça s'écrit
J'ai beau traîner de bar en bar, comme un poète maudit
Depuis le soir où tu as posé du soleil dans ma vie
J'ai l'impression de tomber en panne de mélancolie
J'ai essayé, j'ai essayé, j'ai essayé d'écrire une chanson pour pleurer
D'être jaloux dans mes couplets
De m'faire des comédies guimauves dans les cinés
J'aurais aimé, tellement aimé courir sous des pluies de regrets
M'imaginer que c'était notre dernier baiser
J'aurais aimé mais je t'aime trop pour y arriver
Si tu m'quittais juste une semaine, histoire que ça vienne un peu
J'pourrais t'envoyer des "Je t'aime" qui font couler les yeux
J'pourrais marcher le long des dunes en m'disant qu'c'est fini
Oui mais voilà ça s'appelle une panne de mélancolie
J'ai même fouillé au fond de ton sac pour trouver des idées
J'ai vu des mots d'amour en vrac, que tu m'écris en secret
J'ai vu des photos de mecs tout nus qui s'tenaient par la main
Et le soir quand je suis rentré, tu leur donnais le bain
J'ai essayé, j'ai essayé, j'ai essayé d'écrire une chanson pour pleurer
Sucrer le sucre de mon café
Et colorier de peine toutes les nappes en papier
Me déguiser et te séduire pour te surprendre à me tromper
Etre le mec à qui on sourit, embêté
J'aurais aimé mais tu m'aimes trop pour y arriver
Bon, d'accord, c'est qu'une petite chanson qui t'feras sourire, peut-être
Mais t'amuse pas, entre deux biberons, à la prendre au pied de la lettre
J'échange pas un sourire de toi contre une chanson jolie
Et j'espère qu'on excusera ma panne de mélancolie
J'ai essayé, j'ai essayé, j'ai essayé d'écrire une chanson pour pleurer
J'étais si peu désespéré
Que même mon psy a fini par déprimer
J'aurais aimé, tellement aimé que mes potes puissent me consoler
Tellement aimé qu'au poker, ils me laissent gagner
J'aurais aimé mais on s'aime trop pour y arriver
En panne, en panne, en panne de mélancolie
Je t'aime, tu m'aimes, on s'aime, alors tant pis
En panne, en panne de mélancolie
Je t'aime, tu m'aimes, alors tant pis
Tant pis
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Ce soir, j'ai retrouvé
Un cahier gris.
Tiens, jlavais pas jeté
C'est pas si mal écrit.
J'ai reconnu des mots
Des coleres en morceaux, du temps
Ou je faisais des chansons,
sur le coin de mon coeur
Des ptits échantillons,
du papier à fleur.
Du papier qu'on déchire,
que personne devait lire, jamais
Et jtrainais dans les gares,
sous le panneau départ.
Quant on croit qu'on a le temps,
qu'on prendra le suivant, et pourtant.
Où sont les rêves, que j'avais à 15 ans .
Où sont mes fiévres, mes paries arrogants.
3 accords oublié, reviennent demandé.
Où sont les draps, qui prenait tout mon temps.
Où sont les larmes, oubliées sur les bancs, dans la voix d'harrison, polnareff ou brassens, on entend notre histoire qui résonne
Moi j'ai pas attendu le train d'aprés.
J'ai pris tous ce que j'ai pu, sans me retourner.
Ma douce corde sur le dos,ça qui es? perfecto? trop beau
Et dans ce cahier ce soir, j'ai croisé le regard, d'un gamin plutot fier, de se voir plus grand qu'hier et pourtant.
Où sont les rêves ou s'en vont les sermons,
Où est ma fiévre, elle a guidée le vent, ce vent d'hier, ce soir qui m'entraine,
Vers tous ces trains qui sont partit attent, vers tous ces mots qu'on a pas dit avant.
Vers cette amour, qui se leve devant.
Juste ici, maintenant
Je prends mes reves et j'en fait des sermons, et dans ma fievre ce gamin arrogant aujourd'hui, je l'entend!
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On joue les caïds,
on chante un peu faux,
on se prend des bides
mais les filles nous trouve rigolo.
Décembre 80, New-York il fait beau.
J'ai pris ton manteau, tu fais Jame kant et moi Al pachino
On est la, heureux comme deux gosses en cavale,
au milieu d'une grosse pomme, on s'en tire pas si mal.
On s'est trouvé en cherchant la meme étoile,
enfin tout est possible,
quelqu'un nous trouve normal.
Et puis la rumeur,Dakotta building,
et puis la stupeur,
john lenon is died.
On partage nos larmes,je comprend tes mots.
On a la même flamme,la même envie,d'un monde nouveau.
On est là,perdu comme deux gosses en cavale,
au milieu d'une grosse pomme, qui vient d'avoir trés mal.
On c'est trouvé en pleurant, la même étoile.
Tu es resté au village et moi j'ai mis les voiles,j'ai mis les voiles.
20 ans qu'on s'croise de temps en temps,
qu'est ce qu'on devient, qu'est ce qu'on attend.
Est ce que ta peinture raconte, ton histoire?
J'voudrai des souvenires devant, j'ai envie de voir tes enfants, imagines quand ils auront 20 ans.
Allez viens, on part comme deux gosses en cavale,
comme quant c'été facile
de faire les imbéciles.
Quelque heure volé juste comme ça rien de mal.
Savoir qu'on est amis,qu'on laisse pas faire la vie.
Allez on s'invite comme deux gosses en cavale,
au milieu du grand bal,
sans costard,sans faire part.
Quelque accord de sleeping and sliding,
comme quand c'été facile de faire les imbéciles
allez viens....
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Je parlais de l'amour
Comme on parle du temps
Sans l'avoir vu au jour
Sans le connaître vraiment
J'y pensai comme on rêve
J'en rêvais sans y croire
Entre ces coeurs en grève
Et ces histoires "pour voir"
J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à ça
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là
J'mattendais pas à lire
Autre chose que mon livre
J'm'attendais pas à vivre
Au dessus de mes lignes
Dans cette foule des gens seuls
Toutes ces vies qui se frôlent
Tous ces corps qui s'envolent
Ces chagrins sans épaules
On respire l'air du large
L'air du temps, l'ai de rien
On veut tous prendre le large
Personne connaît le chemin
J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à ça
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là
J'mattendais pas à lire
Autre chose que mon livre
J'm'attendais pas à vivre
Au dessus de mes lignes
Et puis j'ai vu ta tête
Un clown aux yeux qui brillent
Tes chagrins dans les fêtes
Et ton rire qui rougit
Si forte d'être fragile
Tes peurs après la nuit
Les princesses que j'ai lu
Etaient moins farfelues
J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à ça
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là
Je courrais sans lanterne
Vers une aube qui s'enfuit
Aux endroits où l'on s'aiment
Il ne fait jamais nuit
J'm'attendais pas à toi
J'm'attendais pas à moi
Dans c'rôle là
Et le route fut belle
De mes rêves à ma vie
Croustillante de dentelle
Rideaux neufs, nouveau lit
J'ai posé 1000 questions
A mon coeur, à ma tête
J'ai planté l'vieux garçon
Au milieu de ses peut-être
Tous ces jours plus pareils
Ttous ces matins parfaits
Où tes yeux me réveillent
Dans un rire un secret
J'm'attendais pas à ça
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